Pour ce spectacle de tango d'un genre un peu particulier, 16 argentins. 11 sont danseurs, les 5 autres sont musiciens. Magnifique.
Tango Metropolis, c'est l'association du tango, danse et musique traditionnelle sud-américaine, à des choses plus récentes, dans la façon de danser, dans celle d'introduire dans la musique des rythmes plus récents... On a donc toujours l'instrument phare du tango, le bandonéon (Daniel Binelli). Accompagné d'une guitare, d'un violon, d'un piano et d'une contrebasse. La musique qui sort de ce quintette, c'est donc de la musique traditionnelle, dans laquelle on reconnaît plein d'influences différentes, de la valse au rock en passant par le jazz...
Et quand les couples de danseurs entrent sur scène, on jubile... Claudio Hoffmann, Pilar Alvarez et Marijo Alvarez ont gagné le pari de dépoussiérer cette danse. Pour les premiers tableaux, les danseurs sont ainsi habillés en jean, survêt ou blouson en cuir. Le tout avec en fond un décor sombre, celui des bas-fonds d'une ville, la nuit. C'est alors une danse forte, puissante, c'est l'espoir de ces personnages marginaux qu'on ressent. Ce qui est assez original, et j'ai trouvé que c'était une bonne idée, c'était de dire que le but c'était pas de faire qu'un spectacle de danse, mais qu'il y aurait des histoires, que ça raconterait quelque chose. On voit donc des scènes dans des lieux complètement différents : dans un café, aux courses, à chaque fois avec une petite dose de théâtre dans la danse. Humour, sensualité, audace, tout y est ! Rien que d'y repenser, ça me donne des frissons...
En somme, très beau spectacle, que je ne saurais que vous recommander... Ils finissent leur tournée française d'ici une petite semaine, mais peut-être que vous aurez la chance d'être où il faut au bon moment ! Toutes les infos, les dates, etc... sur le site du spectacle. Et aussi un petit extrait, histoire de vous faire une petite idée !
Tango Metropolis, c'est l'association du tango, danse et musique traditionnelle sud-américaine, à des choses plus récentes, dans la façon de danser, dans celle d'introduire dans la musique des rythmes plus récents... On a donc toujours l'instrument phare du tango, le bandonéon (Daniel Binelli). Accompagné d'une guitare, d'un violon, d'un piano et d'une contrebasse. La musique qui sort de ce quintette, c'est donc de la musique traditionnelle, dans laquelle on reconnaît plein d'influences différentes, de la valse au rock en passant par le jazz...
Et quand les couples de danseurs entrent sur scène, on jubile... Claudio Hoffmann, Pilar Alvarez et Marijo Alvarez ont gagné le pari de dépoussiérer cette danse. Pour les premiers tableaux, les danseurs sont ainsi habillés en jean, survêt ou blouson en cuir. Le tout avec en fond un décor sombre, celui des bas-fonds d'une ville, la nuit. C'est alors une danse forte, puissante, c'est l'espoir de ces personnages marginaux qu'on ressent. Ce qui est assez original, et j'ai trouvé que c'était une bonne idée, c'était de dire que le but c'était pas de faire qu'un spectacle de danse, mais qu'il y aurait des histoires, que ça raconterait quelque chose. On voit donc des scènes dans des lieux complètement différents : dans un café, aux courses, à chaque fois avec une petite dose de théâtre dans la danse. Humour, sensualité, audace, tout y est ! Rien que d'y repenser, ça me donne des frissons...
En somme, très beau spectacle, que je ne saurais que vous recommander... Ils finissent leur tournée française d'ici une petite semaine, mais peut-être que vous aurez la chance d'être où il faut au bon moment ! Toutes les infos, les dates, etc... sur le site du spectacle. Et aussi un petit extrait, histoire de vous faire une petite idée !
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